Touché par la crise sanitaire, le groupe EDF prépare un plan d'économies baptisé « Mimosa »

  • AFP
  • parue le

Durement affecté par la pandémie de Covid-19, EDF prépare un plan d'économies qui pourrait être présenté fin juillet, ont indiqué lundi la direction et les syndicats.

"Il y a bien à l'étude un plan d'économies qui s'appelle Mimosa", a déclaré à l'AFP un porte-parole du producteur d'électricité, confirmant des informations du quotidien Le Monde. Le direction souligne que ces mesures d'économie ne sont pas encore chiffrées et détaillées à ce stade. Elle espère pouvoir les dévoiler à l'occasion de la publication des résultats semestriels de l'entreprise, le 30 juillet.

Selon Le Monde, les économies "devraient se situer entre 2 milliards et 3 milliards d'euros". Le groupe envisage des cessions d'actifs, un gel des embauches et des investissements et des réductions budgétaires, écrit le journal.

Côté syndicats, Dominique Bousquenaud, secrétaire général FCE-CFDT, confirme que la direction a demandé aux différentes branches et filiales de présenter des budgets revus à la baisse. "L'entreprise cherche à faire des économies partout après des pertes de chiffre d'affaires de 2,5 milliards d'euros environ suite à la crise sanitaire et avec une dette qui pourrait atteindre 50 milliards d'euros d'ici deux ans", indique-t-il.

"On nous assure que rien est figé sur ce plan d'économies mais qu'il y a une nécessité d'en faire et que rien ne devrait être décidé avant le conseil d'administration de fin juillet", affirme de son côté Philippe Page Le Merour, de la CGT.

La pandémie de Covid-19 s'est traduite par une chute de la consommation d'électricité allant jusqu'à 20% en France avec la mise à l'arrêt de pans entiers de l'économie. Elle a aussi désorganisé le planning industriel d'EDF, qui va pouvoir produire moins d'électricité nucléaire que prévu.

Très endetté, le groupe doit aussi faire face à d'importants investissements pour son parc nucléaire ou encore pour se développer dans les énergies renouvelables.

Commentaires

Serge Rochain

Eh oui, quoi qu'on en dise le nucléaire n'était pas la panacée, 50 milliards de dette dans deux ans, cela n'inclus pas le grand carénage qui devra s'étendre bien au-delà. Les ENR auront bon dos pour expliquer la formidable augmentation de l'électricité, alors que la dette est déjà là et que les ENR n'y sont pour rien car l'investissement est aujourd'hui uniquement une affaire d'investissements privés.

studer

Supprimons d'abord l'absurde et suicidaire obligation par EDF de vendre à perte sa production nucléaire à ses concurrents, qui ne font aucun effort pour construire des centrales !
Et arrêtons de subventionner les renouvelables, qui ^pompent 7 milliards d'€ par an sur le dos des citoyens de notre pays.
vous verrez qu'il n'y aura pas besoin de faire des économies !!

Au fait : normal qu'EDF envisage de geler des embauches, vu que 1000 techniciens hautement qualifiés ont été privés de leur poste par une décision politique ubuesque et dispendieuse (indemnisation de Fessenheim = 10 milliards sur 20 ans). Car il faudra bien les reclasser dans d'autres centrales : dommage pour les jeunes en attente d'embauche...

Rochain

Supprimer l'obligation pour EDF de céder une part de sa production nucléaire à de simples revendeurs je suis le premier à le demander. Il faut que le contrat prévoit d'obliger les prétendants à cette aide de produire eux même au moins le double (le triple ?) de ce qu'ils demandent en nucléaire.
Par ailleurs il n'y a aucune subvention pour les ENR ! Une subvention c'est de l'argent contre.... RIEN! Mais en réalité c'est de l'achat à 6 ctm€ le KWh qu EDF vous rêvent 11,6 ctm€!!!
Vous appelez ça une subvention ?
La bonne affaire c'est EDF qui la fait !
Il m'achète mes surplus Ppv 0,06 € avec l'argent qu'il reçoit de la CSPE, donc avec votre argent et il vous le revend 0,116€... Une marge de 100% du chiffre d'affaire, Juteux non ?
Le dindon c'est vous... Alors ne vous en prenez pas à moi le producteur de ce KWh, vous vous trompez de cible d'autant plus que j'injecte directement mes électrons dans le réseau et EDF ne les vous même pas passer, de l'argent facilement gagné sur notre dos à vous et à moi.

Schricke

De même, Mr Rochain, les ENRi ne sont absolument pas responsables de la quasi faillite des compagnies de transport aérien, de leurs fournisseurs, d'une grande partie de nos "petits" (et grands) commerces !... Décidément, vous mesurez tout à l'aune de vos ENRi ! Covid 19: connais pas ? Cela devient un "tic" chez vous ! Et vous savez très bien que, pour une boite comme EDF, entreprise très "capitalistique", comme toutes les entreprises de ce type, le montant de cette dette, très comparable à celles des entreprises équivalentes sur ce "créneau", n'est pas rédhibitoire !... Maintenant, en ce qui concerne tous les ENRi (votre "dada" !) Pouvez-vous nous préciser qui paie les énormes subventions et les "tarifs d'achat" privilégiés en leur faveur , dont vous prétendez, pourtant qu'elles sont si "rentables" ? Et qui paiera le démantèlement (quasiment impossible) des énormes quantités de béton armé (6 à 8 millions de tonnes, pour l'instant) qui "supportent vos "moulinettes". Cela, non plus, vous n'en parlez jamais ! Pourquoi ? comme dirait madame Aubry: "quand il y a du flou"...

Thomas

Bonjour,
@Schricke: vous critiquez Serge Rochain pour son amour inconditionnel des EnR alors que vous êtes visiblement dans une position strictement identique, mais diamétralement opposée en vantant votre nucléaire chéri. C'est d'ailleurs surprenant, car les défauts des EnR que vous pointez sont tout autant valables pour le nucléaire, et souvent à une échelle autrement plus importante...!
Vous parlez par exemple des subventions et tarifs d'achats des EnR soi-disant énormes, mais vous semblez refuser d'admettre que les tarifs d'achat ont complètement fondu en 10 ans à l'inverse du nucléaire dont la courbe des coûts de production est croissante, sans parler du nucléaire nouveau (oui je sais que vous direz que "Flamanville est une tête de série même si ce n'est pas le premier mais on va réduire - juré craché - le coût des prochains par 3, faites nous confiance..!")...
Vous parlez du démantèlement des fondations bétons des éoliennes comme si c'était un travail insurmontable?! Alors que sur le même sujet du démantèlement, la cour des comptes pointe régulièrement (dernier rapport de février 2020 notamment) les augmentations régulières de son coût pour les centrales nucléaires (par ex. Chooz A : +36% entre 2012 et 2018!!). Sans parler des réacteurs arrêtés depuis 30 ans sans qu'aucun démantèlement n'ait pu être fait!?
Je vous informe au passage que depuis fin juin, l'excavation totale des fondations est devenue obligatoire. Ca vous fait un argument en moins, mais vous allez rebondir sur les oiseaux ou le bruit ou la dépréciation immobilière... plein de fausses idées colportées par des anti-éoliens qui n'ont jamais creusé les sujets mais qui pensent qu'ils ont raison sur toute la ligne... et que les lobbies "verts" ont infiltré les gouvernements pour diriger le monde... :-))
Bonne journée

studer

Bonjour,

Et soyons honnêtes : même si les tarifs d'achat ont fondu (ils subsistent pour le petit solaire et les parcs de moins de 6 éoliennes, qui comme par hasard deviennent le standard !), les "renouvelables" restent subventionnés ce qui n'est pas normal. Les engagements pris par l’État (pardon : les contribuables) coûtent très cher aux consommateurs, via les taxes sur les factures d'électricité, 6 à 7 milliards d'€ par an. Et le nucléaire rien, car il a été entièrement financé par des emprunts d'EDF, l'Etat ayant été totalement défaillant dans son rôle d'actionnaire.
Ensuite, il faut sortir du dogme : les technologies doivent être propres (pas d'émissions de CO2), fiables (pas de coupures) et bon marché. Point.
Sur le 1er point, nucléaire et renouvelables sont comparables (on ne pinaillera pas sur le gramme CO2/kWh).
Sur le 2ème, les renouvelables sont intermittents ce qui est rédhibitoire dans l'état actuel de la technologie : aller au delà de 15 % coûte cher (tapez Finon/Lévêque pour avoir l'explication économique) et au delà de 30 à 40 % impossible techniquement (le réseau n'est plus stable).
Quant au 3ème, supprimons les subventions aux renouvelables, y compris à l'éolien offshore dont le raccordement au réseau a été "à l'insu du plein gré" des consommateurs, pris en charge par la taxe TURPE (voir votre facture d'électricité) : et ce n'est pas une paille, car cela correspond à 20 €/MWh en moyenne, à comparer au prix du marché du MWh qui oscille entre 20 € (en crise Covid) - 50 € (en temps normal) - et l'infini (en pic de consommation).
Donc pas de parti pris, pas de dogme, mais alignons les vrais chiffres. et discutons.

Thomas

Mais bien sur @studer.
A la lecture du rapport de la cour de comptes de 2012 (voir extrait dans un autre commentaire plus bas), votre explication sur le financement du programme nucléaire ne tient pas la route!
D'ailleurs la cour des comptes émet des suppositions sans être affirmative sur le montage du financement du parc nucléaire, donc éclairez nous de vos explications détaillées svp..!
Quant à la CSPE, pouvez-vous nous dire ce qu'elle représente sur votre facture annuelle? En ne retenant que la part dédiée aux EnR évidemment?
Le reste de vos chiffres sont du même niveau d'inexactitude... Rte a fait des scénarios jusqu'à 70% d'EnR dans le réseau sans affirmer aussi fortement que vous le faites que ce n'est pas tenable (mais vous avez peut-être fait une étude de réseau poussée pour l'affirmer?).
Sur le raccordement, Rte parle de 10 à 15€/MWh sur le coût de raccordement des parcs offshore (SDDR 2019). Votre 20€ sort d'où?
Et dernier point : qui a financé le réseau électrique français servant à évacuer la production nucléaire? Le dernier en date étant le raccordement de l'EPR Flamanville?
"Pas de dogme" dites vous...

studer

Pas de dogme.
La Cour des Comptes confirme la réalité, c'est à dire que l'essentiel du parc nucléaire existant a été financé par EDF (autofinancement et endettement de l'entreprise) : donc pas par l'actionnaire principal qui est l’État et dont le rôle est précisément d'apporter les investissements !! L’État c'est le contribuable, donc ce ne sont pas nos impôts qui ont financé le parc nucléaire. Point.
La CSPE est à 5,7 Mds € dont 70 % environ sont consacrés au soutien de l'éolien et du solaire. Et une TVA de 20 % s'applique à la CSPE sur nos factures !
La limite technique d'inclusion de moyens de production intermittents dans le mix est de 40 %, et encore avec des restrictions (rechercher sur le net les études approfondies de la R&D d'EDF : Alain Burtin et Vera Silva) dont celle d'être parfaitement interconnecté avec le reste de l'Europe.
Le chiffre de 20 €/MWh est un chiffre fiable dont je ne peux vous donner la source : RTE, dont le patron Brottes vient d'être démissionné, a une tendance "naturelle" à minimiser ce montant vu son tropisme antinucléaire (c'est le père de la loi LTECV) : donc les chiffres de 10-15 € que vous indiquez ne me surprennent pas. N'oublions pas que ce coût est couvert par la taxe TURPE qui explose, ce que Bercy lui reproche.

Rochain

Mon "amour" inconditionnel pour les ENR n'a rien d'un amour ni d'inconditionel, il est réfléchi et résultat d'observations et de calculs rationnels.
Je n'ai aucun sentiment vis à vis de la façon la plus économique de produire l'électricité et selon des procédés qui ne transforment pas la matière de la Terre en énergie ce qui a nécessairement une fin.

Oscar

Schricke,

Ce sont les exploitants des parcs qui doivent assurer le démantèlement des machines, avec excavation complète des fondations. La législation a évolué il y a peut sur ce dernier point. On pourra faire un tour de France, je vous mets au défis de trouver une friche de parc éolien dans les 30 années à venir.

Pour l’argument économique, les derniers appels d'offres retenus par la commission de régulation de l’énergie pour l'éolien tournent autour de 55€/Mh ce qui commence à être équivalent au prix du Nucléaire (qui au passage est largement sous-estimé), et baisse de manière drastique dans le temps, tandis que celui du nucléaire stagne depuis des année, voire augmente alors qu'on exploite depuis bientôt 60 ans.

Toutes les énergies ont besoin d'être subventionnée pour leur développement, je n’imagine même pas combien d'argent publique a été injectée dans le nucléaire à ses début. Et aujourd'hui, quand ont explose la facture de l'EPR de plusieurs milliards. Quand on se rend compte que le démantèlement des centrales prendra plusieurs dizaines d'années. Qu'on va devoir gérer les déchets pendant plusieurs dizaines de milliers d'année. Ca commence à devenir un gouffre. Et qui va payer ?
Et je ne parle même pas des risques

Je ne suis pas pour l'arrêt complet du nucléaire qui a sa place dans le mix électrique prochain. Mais on ne peut plus en dépendre à 70%, c'est plus possible. Et quand je vois les contres vérités qui sont véhiculés par les lobbyistes de cette energies ca me fait vomir. Avec ça l'immense culot et hypocrisie que vous avez d'avancer l'argument du démantèlement, et l’argument économique.

NB : vous les appelez Enérgies Renouvelables Intérmitentes c'est ridicule. Je pourrais dire Energie Nucléaires Productrice de Déchets Radioactifs ce serait pareil

studer

Renouvelables, on peut en discuter.
Intermittentes, c'est indiscutable ; on pourrait dire aléatoires ou non pilotables si c'est plus facile à comprendre. Et comme l'électricité ne se stocke pas (sauf en toute petite quantité), c'est rédhibitoire. Ou alors on mélange avec de l'électricité faite au gaz ou au charbon, et on émet du CO2. Comme on ne veut pas, et c'est compréhensible, on mélange avec du nucléaire (l'hydraulique aussi, mais ça ne suffit pas) mais chut ! !
Le nucléaire, construit dans les années 80 à 2000, n'a PAS été subventionné, c'est un mensonge facile à vérifier. EDF a financé seul sa construction, avec l'argent des consommateurs certes, mais comme pour tout produit commercial. Les renouvelables sont financés en grande partie par des subventions et ce depuis le début.
Si on veut être objectifs, arrêtons de les subventionner (les espagnols l'ont fait !) et que le meilleur gagne.

Rochain

Les production éoliennes n'ont rien d'aleatoire, la météo est capable de dire plusieurs jours à l'avance sur quoi on peut compter, mais il n'existe aucune météo pour le black out total d'un réacteur qui s'arrête brusquement parce qu'une vanne fuit ou n'importe quel autre incident... Et d'un seul coup c'est 900 MW qui secouent le réseau par défaut... Autrement plus grave qu'une chute du vent qui s'étale sur 8 à 12 heures.

Thomas

L'électricité ne se stocke pas bien certes, mais c'est valable quel que soit le mode de production, c'est un résumé bien rapide que de dire que c'est rédhibitoire pour les EnR.
Ensuite, concernant vos affirmations sur le financement du programme nucléaire français, pouvez vous nous éclairer justement sur ce financement qui serait d'après vous "facile à vérifier" ? Qui a financé quoi? Quel apport de l'Etat vs apport d'EDF? Comment était structurée la dette ? Quel niveau de garantie l'Etat a mis sur la table pour que des banques financent?
Par ailleurs, la cour des comptes écrit dans son rapport de 2012:
"Si le tableau précédent concerne EDF dans son ensemble et non le seul périmètre nucléaire, il permet de penser que le parc nucléaire a été, comme les autres actifs, financé à la fois par des dotations en capital apportées par l’Etat et par l’endettement de l’entreprise, qui culmine en 1990 juste après la période de très fort investissement. En 1996, EDF estimait que le programme nucléaire avait été financé à 50 % par autofinancement et à 8 % par les dotations en capital de l’État, la couverture des 42 % restant étant assurée par l’endettement. Il est cependant difficile d’en tirer des conséquences précises en termes de coût de ce financement."
Votre explication plus précise que celle de la cour des comptes est donc attendue pour nous éclairer.
Tout ceci pour dire que comparer les tarifs d'achat EnR actuels au financement d'il y a 40 du nucléaire est un raccourci bien facile pour dire qu'il suffit de stopper les "subventions" aux EnR...!
Dernier point, quid du financement du nouveau nucléaire du coup (EPR Flamanville...) ?
Bref. Si on veut être objectif, on évite les conclusions trop faciles de ce genre...

Schricke

Je bats ma coulpe, sur le point du démantèlement des socles ! J'ignorais l'évolution (très récente, d'ailleurs ?) de la législation (parfaitement justifiée !) à ce sujet ! Merci de m'avoir apporté ce complément d'information ! Je ne doute pas, par ailleurs, que le coût (tout sauf négligeable !) de ce démantèlement sera désormais inclus dans les coûts affichés de la production d'énergie éolienne ? . Vous n'ignorez pas, en effet, que les coûts de démantèlement et le traitement des déchets sont inclus dans le coût de la production d'énergie d'origine nucléaire ? Par contre, le coût des productions d'origine thermique venant compléter les productions d'ENRi, afin de pallier leur intermittence inévitable, ne sont pas inclus dans les calculs très "fantaisistes" des contempteurs de ces ENRI !... Sauf erreur ?

Thomas

Je rejoins Oscar dans sa réponse.
@ Schricke: Si vous êtes si féru de démantèlement, expliquez nous pourquoi la facture de Chooz A a pris 36% en à peine 6 ans? et expliquez nous le taux de recyclage d'une centrale nucléaire? Les fondations sont-elles excavées en totalité? Et expliquez nous pourquoi certains réacteurs arrêtés il y a 30 ans ne sont toujours pas démontés et les sites remis en "greenfield"..?

Oscar

Ça n'aurait aucun sens de compter le prix du MWh des centrales d'appoint. Un KWh d'éolien c'est un KWh d'éolien, un KWh de gaz c'est un KWh de gaz. Vous ne pouvez pas dire que d'une part ça ne produit pas, et d'autres parts que l’électricité non-produite coûte cher. Autrement, c'est pareil lorsqu'un réacteur nucléaire est maintenance ou en panne, et que des centrales thermiques réactives doivent prendre le relais..

Max Maes

Arrêtons d'opposer ENR et nucléaire. Les deux productions sont complémentaires.
Et ne faisons surtout pas comme l'Allemagne et le Chine avec leur charbon pourri, ni comme les US avec leur gaz/pétrole de schiste.
Visons aussi notre indépendance technologique et le maintien de notre filière industrielle.
Devant un monde très incertain, gardons en tête l'indispensable indépendance stratégique.

Thomas

Effectivement, le pro-nucléaires ont la facheuse habitude de ne voir que les défauts des EnR et tapent dessus à la moindre occasion.. c'est regrettable alors que ces modes de production peuvent très bien fonctionner ensemble...

Ajouter un commentaire

Suggestion de lecture