En 2019, la production d'électricité en France métropolitaine a reposé à 70,6% sur l'énergie nucléaire et à 11,2% sur l'hydroélectricité.

En 2019, la production d’électricité d’origine renouvelable en France métropolitaine a atteint 109 TWh, soit 0,4% de moins qu’en 2018 en raison d'un recul de la production hydroélectrique.

À fin 2019, l'Europe comptait 5 047 éoliennes offshore connectées au réseau électrique. Près de 73% d'entre elles étaient situées au large du Royaume-Uni (2 225 éoliennes offshore) et de l'Allemagne (1 469).

Le projet de PPE fixe pour objectif de réduire la consommation finale d’énergie en France métropolitaine continentale de 7,6% en 2023 et de 16,5% en 2028 par rapport au niveau de 2012.

En 2019, les entrées de gaz naturel liquéfié en France ont augmenté de 87% par rapport à 2018 selon GRTgaz.

En 2019, le cours moyen du baril de Brent a atteint 64,34 $, soit 9,4% de moins qu'en 2018.

Le parc nucléaire français a produit 379,5 TWh d'électricité en 2019, soit 3,5% de moins qu'en 2018.

En 2018, les émissions de CO2 liées à l’énergie et à l’industrie provenaient à 40% du charbon, à 34% du pétrole, à 20% du gaz naturel, à 4% de la production de ciment et à près de 1% du torchage de gaz.

La production américaine de pétrole brut a atteint 12,2 millions de barils par jour (Mb/j) au 3e trimestre 2019, contre 11 Mb/j en moyenne en 2018.

Dans l'Union européenne, les taxes nationales comptent en moyenne pour 61% du prix de l’essence et 55% du prix du gazole à la pompe.

Les centrales à charbon actuellement en service en Asie sont en moyenne exploitées depuis seulement 12 ans, soit deux décennies de moins que la moyenne en Amérique du Nord et en Europe.