Nucléaire : l'ASNR confirme « 2 indications de corrosion sous contrainte » sur un réacteur

  • Connaissance des Énergies avec AFP
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Centrale nucléaire de Civaux

Centrale nucléaire de Civaux : Vienne, 2 réacteurs (©DIDIER MARC;PWP)

"Deux indications" de corrosion sous contrainte ont été détectées sur le réacteur nucléaire n°2 de la centrale de Civaux (Vienne), plus de trois ans après la découverte de ce phénomène qui avait plongé le groupe EDF dans une crise industrielle majeure, ont indiqué mardi l'entreprise et l'autorité de sûreté nucléaire (ASNR).

Minuscules fissures

"Une expertise est en cours sur des tuyauteries", a déclaré le groupe à l'AFP, confirmant des informations du journal La Tribune. Cette analyse est conduite conformément "au programme de contrôles 2025 mené dans le cadre de la stratégie du traitement de la corrosion sous contrainte", précise-t-il.

L'électricien indique ne pas disposer "des résultats" à ce stade. Contactée par l'AFP, l'ASNR, le gendarme des centrales, a confirmé l'existence de "deux indications de corrosion sous contrainte" sur ce réacteur, sans plus de détails.

Le phénomène de corrosion sous contrainte (ou CSC) se matérialise par de minuscules fissures sur des portions de métal. EDF y avait été confronté à partir de fin 2021 en découvrant des microfissures sur le réacteur n°1 de la centrale de Civaux, la plus récente et parmi les plus puissantes du parc nucléaire (1 450 MW par réacteur) après l'EPR de Flamanville.

Le phénomène portait sur des portions de tuyauteries des circuits auxiliaires au circuit primaire principal du réacteur, des tuyauteries cruciales pour le refroidissement des centrales nucléaires en cas d'accident.

Production de tritium

Cette découverte avait nécessité une vaste campagne de contrôle et de réparation dans le parc nucléaire d'EDF. En 2022, entre la corrosion et les maintenances programmées, la moitié des 56 réacteurs s'était ainsi parfois retrouvée à l'arrêt en même temps, menaçant le pays de coupures électriques en plein hiver. EDF avait fini l'année 2022 avec des pertes record, plombé par le niveau historiquement bas de sa production nucléaire.

Les examens réalisés en 2022 avaient permis d'identifier 16 réacteurs particulièrement sensibles au phénomène. Ces derniers ont bénéficié d'un programme de remplacement préventif des portions de tuyauteries qui s'est achevé au 1er trimestre 2024, selon le rapport annuel d'EDF.

À l'arrêt depuis le 4 avril pour des opérations de maintenance planifiées, le réacteur Civaux 2 est censé redémarrer au début de l'été.

En mars 2024, le ministère des Armées avait annoncé une "collaboration" avec EDF afin d'utiliser la puissance des deux réacteurs de Civaux pour produire avec le CEA du tritium, "un gaz rare indispensable aux armes de la dissuasion" nucléaire.

Commentaires

Rochain Serge
Pour votre dynamo qui rependrait ses electrons dans le cadre du velo vous m'avez bien fait rire. Cette réponse me plait sur le plan humour c'est génialement amusant. Malheureusement c'est faux la encore, aucun courant n'est émis mais si vous mettez la main sur la dynamo, vous constaterez Qu'elle chauffe.tout comme les ppv et pour la même raison. Mais vous ne risquez pas de vous brûler, c'est le même niveau d'énergie sous forme calorique que celle diffusée sous forme de lumière en mettant l'ampoule dans le phare, donc pas grand chose, pas de quoi faire bouillir une casserole pleine d'eau pour faire cuire un œuf.
Antoine Jantzen
Bonjour Serge, encore merci pour vos explications...foisonnantes!! Vous étiez à deux doigts de me perdre. Mais bon, je me suis accroché, et je pense avoir compris vos explications. Par contre, je reste sceptique sur l'accumulation de chaleur dans une installation photovoltaïque en activité lorsqu'elle est mise en stand-by : n'est-ce pas problématique? N'y a-t-il pas de risques? Si oui, comment sont-ils gérés?
Serge Rochain
En fait, l'inconvénient des PPV, les grandes surfaces à utiliser pour obtenir une énergie assez modeste (de l'ordre de 150W au m2), devient ici un avantage, car cette surface permet de diffuser facilement l'énergie dégagée par l'agitation des électrons qui ne depasse donc pas les 150w, non transformés en électricité en l'occurence. Pour bien imager ce qu'il faut dissiper, prenez la surface de verre d'une ampoule de 150 W qui correspond environ à 78 cm2, mais qui est diffusé sur une surface 128 fois plus grande, donc à surface égale, à une température plus de 100 fois moins chaude..... Pensez vous toujours que cela peut poser un probléme d'évacuation de cette chaleur dégagés par l'agitation thermique des électrons du silicium chatouillés par les photons, à température ambiante ?
Antoine Jantzen
Merci Serge, j'aime bien votre exemple de l'ampoule et de la surface de verre. C'est vrai que finalement, quand on bronze lors d'un bain de soleil, on ne risque que quelques coups de soleil. Pour des brûlures plus graves, faut vraiment insister!!
Rochain Serge
Vous avez parfaitement compris, quand un dispositif construit pour convertir une forme d'énergie quel qu'elle soit en électricité mais qu'elle en est empêchée faute de circuit fermé pour conduire le courant qui n'est donc pas produit, le dispositif évacue l'énergie reçu en entrée sous forme de chaleur qu'il faut pouvoir évacuer sous cette forme. Plus cette énergie est concentrée plus c'est difficile. Dans les cas extrêmes cette difficultée est étalée dans le temps ce qui est le cas des dispositifs dont la source elle même est thermique comme ceux qui exploité la vapeur sous pression. Leur réactivité au changement est conditionnée par leur capacité à refroidir une fois la source de chaleur elle même annulée. Le cas le plus difficile est pour cette raison celui du nucléaire car si on peut rapidement fermer le robinet d'une centrale à gaz pour que la température ne monte plus, et ne soit même pas entretenue, on n'arrête pas une réaction en chaîne, on détourne ses conséquences, en interposant des capteurs de neutrons appelés barres neutophages de commande sur la passage des neutrons afin qu'ils ne fissionnent pas les noyaux d'uranium qui sont en fonctionnement normal les cibles qu'ils doivent fissionner. Bref c'est une opération délicate et complexe qui prend du temps, ce qui fait que faire varier la puissance d'un réacteur nucléair de façon sensible est une question d'heures contre des minutes pour une centrale à gaz et même de secondes pour des arrêts ou démarrage de parcs ppv ou d'eoliennes. C'est la raison pour laquelle RTE qui a la charge de maintenir le réseau en état d'équilibre entre la production et la consommation, privilégie les parcs ppv ou éoliens pour assurer cette égalité face aux importantes variations en des temps très courts que génère cette activité d'import/export. Vous pouvez le constater tous les jours sur le site eco2mix de RTE à la page des productions par filières.
Antoine Jantzen
Eh ben! Comme dirait mon grand-père : "Ce soir, je me coucherai mon con!!", et comme dirais ma grand-mère : "Tant que tu n'as pas compris, continue à poser des questions!!". Bon week-end Monsieur Serge.
Serge Rochain
Bon WE. Faites nous donc une petite visite : https://climso.fr/visite-virtuelle/ https://www.youtube.com/watch?v=jmMiDAtMn80&authuser=0 Mais prenez le téléphérique, il refonctionne mais c'est plus long : https://www.youtube.com/watch?v=jmMiDAtMn80&authuser=0
jean-jacques Attia
Bonjour Monsieur Jantzen : la "Société des ingénieurs diplômés par l'Etat", à laquelle M. Rochain prétend appartenir, n'existe pas. Il n'y a qu'une "Association...". Qui fonctionne sur la base de la validation des acquis de l'expérience. Il n'y a pas de honte à celà, mais pas de gloire non plus, et encore moins de "hauteur de vol" ! L'indigence des explications de M. Rochain, quelques commentaires plus loin, sur l'origine de l'effet photo-électrique, confirme bien le niveau de ses connaissances dans ce domaine. C'est plutôt pitoyable. Epater les gens qui ont peu de connaissances scientifiques semble satisfaire ce Monsieur, ne vous y laissez pas prendre.
Serge Rochain
Monsieur Jantzen appréciera lui_ même si une Association à le droit de s'appeler "Société ....des pécheurs à la ligne du gougeon frétillant"....par exemple, ou bêtement comme en la circonstance "Société des Ingénieurs Diplômés Par l'Etat" qui en l'occurence est une association comme les organismes religieux d'obédiences variées ou les mouvement politiques comme le PCF, le RN, .... ou les syndicats comme la CGT, FO..... ou les groupements d'anciens éleves d'une école comme la SIDPE ou l'AX, bref, toutes les ALUMNI Monsieur Attia qui manque également de culture administrative ignore beaucoup de choses et manifestement dans tous les domaines. Je vous signale que l'église catholique ne doit certainement pas exister non plus car il n'existe que des associations diocèsiennes, tout comme les parTis politiques par exemple, c'est même écrit là : https://www.vie-publique.fr/fiches/23999-quest-ce-quun-parti-politique Pour Monsieur Attia, le fait d'étre regroupé en association semble être dévalorisant, ce qu'il souhaite semble-t-il, c'est entacher ma réputation en raison d'un profond ressentiment à mon égard pour l'avoir ridiculisé dans ses prétentions scientifiques à propos du rapport entre les temps orbitaux des corps celeste comme les planètes et leur distance au Soleil. Toujours très amusant ce Monsieur à qui il prend de baver sur mon compte de temps à autre.
Serge Rochain
Les prétention d'Attia, et aeropelu, estimant à avoir un avis plus autorisé sur mes connaissances scientifiques que les membres de l'Académie des Sciences, Professeur au collége de France ou Institut d'Astrophysique de Paris, par exemple, les positionnent où exactement dans leur propre niveau de compétence pour juger des miennes ? https://www.istegroup.com/wp-content/uploads/2017/07/201_Histoire_de_la_mesure_des_distances_cosmiques_preface.pdf ........ https://www.istegroup.com/wp-content/uploads/2018/06/452_Le-regard-des-hommes-sur-le-Soleil_Rochain_Premi%C3%A8re-partie.pdf
jean-jacques Attia
En réponse aux très nombreux commentaires de M. Rochain, après les quelques lignes que j'ai eu l'étourderie d'écrire à son égard, et en supposant qu'il y aura au moins un lecteur de ceci : - Rochain se trompe lourdement, c'est son style, à propos du nom de l'association qui a eu la générosité de lui accorder un diplôme. Ce n'est pas une société quoi qu'il en dise... Voici ce qui est écrit sur le site de cette association, dont il fournit obligeamment l'adresse : "AIDPE Association à but non lucratif fondée en avril 1937 et Reconnue d’Utilité Publique depuis le 25 juillet 1997". Pour M. Rochain, "A", comme Ane, et "S", comme Savant, c'est pareil. Le bonhomme est impressionnant. - Concernant la préface de M. Jean-Claude PECKER, Professeur émérite au Collège de France, Membre de l’Académie des sciences, aujourd'hui disparu, dont M. Rochain nous invite à prendre connaissance, on retrouve la difficulté de ce dernier à bien comprendre ce qui est écrit : extrait : "Nos ancêtres philosophes (...) se seraient beaucoup amusés à lire le livre de Serge Rochain et se seraient enthousiasmés pour la précision des mesures de temps et de distance des astronomes d’aujourd’hui. Je ne saurais mieux conclure cette courte préface qu’en redisant l’importance que l’on peut, et que l’on doit, accorder aux méthodes de mesure, au choix des étalons, à la précision des calculs. Serge Rochain nous a permis, je crois, de mieux évaluer cette importance et de nous rendre compte à quel point la précision des mesures est essentielle pour asseoir, d’une façon précise et convaincante, les théories de l’astrophysique et de la cosmologie." Est-il bien certain que cette préface soit un compliment ? - La question se pose avec d'autant plus d'acuité quand on reprend l'affirmation de M. Rochain à propos de la troisième loi de Kepler, où il s'est obstiné à démontrer qu'elle pouvait s'écrire sous la forme : R^3 = T^2 ! Je m'en souviens encore tant l'injure faite à la physique la plus élémentaire était saisissante... "Importance des méthodes de mesure, du choix des étalons, de la précision des calculs"..., M. Pecker savait taper juste là où ça fait mal. Il faut s'appeler M. Rochain pour ne pas comprendre cette préface.
Rochain Serge
Ou l'on voit qu'Attia qui se prend pour un physicien n'a toujours pas compris que R^3=T^2 en choisissant les bonnes unités qui imposent cet equation, l'année terrestre pour le temps et l'UA pour les distances. Et c'est valable pour toutes les planètes de notre système solaire. ATTIA s'entête a se ridiculiser en le contestant alors qu'il suffit de l'appliquer pour devoir se rendre à l'évidence. Attia tant que vous betonnetez sur vos erreurs au lieu de vérifier vous resterez idiot. On ne conteste pas les lois de la physique sans être capable de prouver ce que l'on affirme.
jean-jacques Attia
Pauvre M. Rochain, c'est ballot de se prétendre astronome et d'être incapable d'exprimer correctement la 3ème loi de Kepler. C'est pourtant ce qu'un lycéen moyen de terminale scientifique sait faire... Le " R^3=T^2 " que vous vous obstinez à écrire n'a aucun sens, quelles que soient les unités employées. Avec si peu de connaissances, je ne sais pas comment vous avez pu mystifier autant de gens !?
Serge Rochain
Je vais vous aider à comprendre Attia, car sans mon aide vous n'y arriverez jamais et je vous laisse le soin de transposer pour n'importe quelle autre planété du systeme solaire (Distance Terre-Soleil d'un UA)^3 = (temps orbital de la Terre en 1 an)^2 autrement dit 1^2 = 1^3 vous saisissez ou il vous faut un autre exemple ?
Serge Rochain
Il ne peut certainement pas vous venir à l'esprit que tous ces gens que j'aurais "grugés" ne sont pas aussi bêtes que ce que vous imaginez, et que .... peut-être, en savez-vous vous-même infiniment moins que ce que vous croyez savoir ? Ainsi, j'aurais réussi à tromper d'éminents scientifiques qui préfacent mes ouvrages, ceux de l'Union astronomique internationale qui récompensent ma participation à l'étude du meilleur instrument solaire au sol d’Europe à l'observatoire du Pic du Midi en donnant mon nom a un astéroïde, ceux de l'Université de Paris II Orsay qui m'ont décerné un DEA d'astronomie et d'astrophysique, trompé également le comité jugeant les carrières remarquables parmi les plus de 4000 ingénieurs DPE pour m’avoir décerné la médaille d’IDPE dont seuls 25 ont étés attribuées depuis la naissance de l’association « Société des ingénieurs diplômés par l’état » selon statuts, en 1937, trompés aussi tous les lecteurs qui ont achetés mes livres ou lu mes articles dans les revues d'astronomie, tous le public venu assister à mes conférences, les 6 astronomes, astrophysiciens et directeurs de recherche avec lesquels je travaille régulièrement à l’observatoire du Pic du Midi. Mais je n’ai pas réussi à tromper Attia qui a découvert grâce à ses fines compétences dans tous ces domaines scientifiques, que j’étais totalement ignorant, en astronomie, en mathématique, en physique, et bien d’autres matières encore, bref que je n’étais qu'un usurpateur ! Quelle clairvoyance..... ou ignorance prétentieuse !
jean-jacques Attia
Coucou, encore moi M. Rochain. 1- Il ne faut pas de fines compétences scientifiques pour mesurer l'étendue de votre ignorance. 2- Mais vous affirmez cotoyer toute une série de gens savants. 3- Alors vous n'aurez aucune difficulté à faire valider votre étonnante interprétation de la 3ème loi de Kepler, à savoir : R^3 = T^2 . 4- Oserez-vous, ne serait-ce qu'auprès d'un seule des personnes que vous mentionnez ? J'attends cette validation avec impatience, avec bien sûr le nom et la qualité de la personne en question.
Serge Rochain
Mais c'est fait Attia, cela fait parti du chapitre 13 de l'ouvrage préfacé par Pecker qui l'a donc cautionné (page 121) ! Une partie du texte : Prenons la Terre comme référence, en utilisant ses propres unités 1 UA pour R et 1 année terrestre pour T et nous avons 1^3/1^2 = K = 1 ou encore 1^3 = 1^2 (c’est ce que nous avons déjà vu au chapitre 11). Ainsi, pour connaître les distances ou périodes relatives entre les différentes planètes, il est même inutile de connaître la valeur de la constante G comme dans le cas de la détermination de la masse du Soleil vu plus haut. En effet, en proportionnant ce rapport entre distance au Soleil et période orbitale d’une quelconque planète du système solaire en référant à cette même proportionnalité pour notre distance au Soleil et notre période orbitale qui inclut déjà les constantes (4, Pi^2, Ms, et G), cela devient inutile. Au chapitre 11, nous avions déjà calculé la distance Soleil-Mars en utilisant ce procédé. Pour maintenir à l’esprit l’universalité de la méthode, je vous invite ici à renouveler l’expérience avec Jupiter dont la période sidérale est d’environ 11 ans, 10 mois et 10 jours, soit 11,862 années terrestres. Connaissant la période orbitale il s'agit de déterminer sa distance au Soleil X. Nous avons donc : X^3/11,832^2 = 1 c’est-à-dire X^3/140 = 1 c’est-à-dire X^3=140 Nous en déduisons la distance Jupiter-Soleil égale à la racine cubique de 140, soit 5,2 UA. Ou plus simplement : 11,832^(2/3) = 11,832^(0,666 666 667) = 5,2 UA. Si vous aviez acheté cet ouvrage vous ne seriez pas aussi ignorant aujourd'hui. Mais la vrai caution, c'est vous même qui la donnerez Attia, quand vous aurez compris pour quoi il en est ainsi.Ce que vous ne pouvez apprendre qu'en achetant et lisant cet ouvrage, sinon, seulement constater que le resultat de cette équation que vous ne comprenez pas fourni bien les résultats que vous pouvez trouver par ailleurs sur Internet, ce qui malheureusement ne vous fera pas pour autant comprendre pourquoi il en est ainsi, ce qui est démontré dans l'ouvrage. Mais c'est vous même qui la validerez Attia en l'appliquant comme une recette de cuisine sans la comprendre pour constater que "ça marche" .... Je vous ai déjà donné le cas de la Terre qui se trouve à une UA du Soleil et qui boucle son orbite en une année ! Vous savez qu'une UA c'est 150 millions de Km au moins (pour simplifier on arrondi. Donc, pour la Terre vous avez 1^3 = 1^2 ...... Pour mars vous avez : Distance mars-Soleil 1,52 UA période 1,87année donc 1,52^3 = 1,87^2 à la précision des données de départ ........... Pour jupiter :5,2^3 = 11,86^2 ................ Pour Saturne : 9,54^3 = 29,47^2 .......... A vous pour Uranus et Neptune Mais pour comprendre pourquoi il en est ainsi, vous avez le bouquin sous forme numérique a 12€ chez l'éditeur ISTE : https://www.istegroup.com/fr/produit/histoire-de-la-mesure-des-distances-cosmiques/
jean-jacques Attia
Salut Rochain, manifestement M. Pecker n'est pas allé jusqu'à vous lire, en tous cas pas jusqu'à la page 121 ! Il n'est plus là pour rectifier. Vous n'avez personne de vivant qui puisse valider votre affirmation, R^3 = T^2 ?
Rochain Serge
J'ai compris Attia, comme dit dans ma dernière proposition présentée comme une éventualité il ne servira a rien que je vous amène devant la porte la totalite du Corp scientisue mondial, vous trouverez qu'il ne s'agit que de sosis ou que je les paie... Car croire que Pecker ou n'importe quel autre scientifique de ce niveau risquerait sa réputation en prefacant n'importe quoi montre que vous n'admettrez jamais pouvoir vous tromper... Adieu Attia j'ai eu le tort de croire que peut être vous aviez une quelconque intelligence.
Serge Rochain
Un détal des enormités que vous sortez m'avait échappé Attia. Ce n'est pas l'association dite "Société des ingénieurs diplômés par l'état" qui m'a délivré le diplôme d'ingénieur, c'est l'ETAT lui même, comme pour les architectes DPLG qui le sont par le gouvernement, avec parution au journal officiel. L'association dont il s'agit n'a aucune autorité pour délivrer un diplôme d'ingénieur. Ingénieur diplômé est un titre protégé conteinte par la commission des titres. Les établissement habilités à délivrer ce diplôme sont répertoriés par la comission des titres. N'est pas ingénieur diplômé qui veut. L'association est simplement un regroupement de gens qui ont en commun de détenir un titre d'ingénieur diplômé par l'Etat comme il existe des associations de diplômés de la plupart des écoles d'ingénieurs. Les ingénieurs diplômés par l'état obtiennent leur diplôme en passant obligatoirement par une école agrée par la commission des titres et qui s'est déclarée candidate à appliquer les régles d'obtention imposées par l'état. Ces régles changent légerment quelques fois, comme le nombre d'examen intermédiaires qui n'ont pas toujours été ce qu'ils sont aujourd'hui, la composition des jurys, ....ou des détails administratifs. Ce qui n'a jamais changé depuis 1937 et la soutenance d'une thèse devant un jury de l'école qui vous prépare agmenté d'au moins un représentant de l'état et d'un ingénieur DPE de la spécialité, et la rédaction d'un mémoire sur l'objet de la these que vous soutenez qu'il faut faire parvenir à chaque membre du jury un mois avant la soutenance. Vous risquez des poursuites par la comission des titres ratachée au ministère de la recherche et de l'enseignement supérieur si vous vous prétendez ingénieur diplômé Attia..... car je sais que vous ne l'êtes pas, et ne pouvez pas l'être en l'état.
jean-jacques Attia
Vous vous obstinez avec votre "Société des ingénieurs..." alors qu'il est facile de trouver ceci : "L’Association des Ingénieurs Diplômés Par l’État est fière d’annoncer que le nom de Serge Rochain (IDPE Informatique Promotion 1985) a été donné à un astéroïde par le « Minor Planet Center » (MPC), organisme affilié à l’Union Astronomique Internationale (IAU vs UAI), répertoriant les planètes mineures et objets divers, astéroïdes ou comètes en orbite autour du Soleil." Quant à la 3ème loi de Kepler que vous écorchez à plaisir, sachez qu'elle ne peut s'exprimer comme vous le faites qu'à plusieurs conditions cumulatives : - celle des unités, l'UA et l'année terrestre - celle du corps attracteur qui ne peut être que le Soleil. Ainsi la formulation R^3 = T^2 ne s'applique pas aux satellites qui gravitent autour de la Terre. La 3ème loi de Kepler formulée correctement a quand même une toute autre portée... Sur ce, bonne continuation sur l'orbite où certains vous ont propulsé.
Antoine Jantzen
Bonjour Jean-Jacques, Je suis surpris de la véhémence de vos échanges avec Serge. Il y a sûrement un passif entre vous deux que je ne connais pas et auxquel je veux rester complètement étranger. Par contre ce que décrit Serge sur l'effet photovoltaïque, même en ayant peu de connaissances scientifiques, me semble totalement cohérent avec les fiches pédagogiques de "Connaissances des énergies" sur l'effet photovoltaîque, à lire sur ce lien : https://www.connaissancedesenergies.org/fiche-pedagogique/solaire-photovoltaique. Concernant les renouvelables et leur part dans le mix énergétique, vous pouvez aussi lire ce point de vue d'Alain Grandjean (entre autre dirigeant associé de Carbone 4 avec Jean-Marc jancovici et auteur du site The Other Economie) qui est très instructif : https://5iecr.r.sp1-brevo.net/mk/mr/sh/SMJz09SDriOHVbsLFhaHgXBUT6Hb/AU4Qk7Uivkxf. Bonne journée.
jean-jacques Attia
Bonjour Antoine, il y a effectivement du passif entre M. Rochain et moi-même. Je ne détaille pas. Ce qu'il décrit à propos de l'effet photovoltaïque a l'inconvénient de dater : le modèle planétaire de l'atome, porté par Niels Bohr en 1913, est aujourd'hui obsolète. Rochain s'obstine à utiliser ce modèle, avec le style qui lui est propre, c'est à dire avec beaucoup d'erreurs ou d'imprécisions. Par exemple quand il commence à vous expliquer "...un atome est constitué d'un noyau appelé nucléon...". Non, le noyau d'un atome n'est pas un nucléon, le noyau est constitué de nucléons, protons et neutrons. C'est navrant. M. Rochain est ainsi fait qu'il affirme, même sur les sujets qu'il ne maîtrise manifestement pas. L'abus classique, mais pitoyable, de l'argument d'autorité. Vous avez raison quant à la fiche sur l'effet photovoltaïque de CdE, elle n'est pas en contradiction avec ce qu'écrit Rochain ; elle parle simplement d'autre chose. Le bonhomme a des ressources, suffisamment pour avoir convaincu des gens sérieux de donner son nom, "Serge Rochain", à un caillou de l'espace. Mais son profond mépris des autres, sa prétention à tout savoir sur tout, rendent cette distinction plutôt bizarre. Ou comique.
Serge Rochain
Monsieur Jantzen, Rigolons un bon coup, En peu de mots, Attia a trouvé le moyen de sortir pas mal de sottises. Le modèle planétaire de Rutherford et non de Bohr (mais cela n’a vraiment pas d’importance) n’est pas obsolète, au sens où les cosmiciens (Parmi les astrophysiciens, les spécialiste des particules subatomiques, qui étaient étudiées dans le cosmos avant l’inventions des accélérateurs de particules comme celui de Saclay ou de Genève) savent depuis toujours qu’il n’est qu’une image commode mécaniste pour représenter les énergies dans l’atome qui n’explique d’ailleurs pas tous les phénomènes que l’on observe du comportement d’un atome, ce que les cosmiciens savent depuis le début. Depuis, et c’est vrai, il a été remplacé (pour eux) par le modèle de l’atome matriciel qui est donc un modèle abstrait mathématique utilisant le calcul matriciel, branche des mathématiques dont la maitrise est très loin du bagage du commun des mortels et en particulier de celui d’Attia qui ne sait sans doute même pas qu’il existe. C’est pour cette raison que lorsque l’on veut expliquer à une personne simplement normale, l’un des phénomènes lié au comportement des atomes on utilise toujours le modèle mécaniste qui est bien plus parlant pour ces gens…..normaux. Mais ce ne sont pas les deux seules bêtises du commentaire désobligeant d’Attia. La perle est ici : « Non, le noyau d'un atome n'est pas un nucléon, le noyau est constitué de nucléons, protons et neutrons. C'est navrant. M. Rochain est ainsi fait qu'il affirme, même sur les sujets qu'il ne maîtrise manifestement pas » Le nucléon n’est pas une troisième sorte de particule, il n’y a pas des nucléons, des neutrons, et des protons dans le noyau d’un atome, il n’y a que des protons et des neutrons, le nucléon n’existe pas en tant que particule spécifique, il désigne simplement l’une ou l’autre de ces particules neutrons et protons. Ils sont regroupés sous ce nom de nucléon car ils ont comme caractéristique commune d’être dans le noyau de l’atome. Le plus simple des atomes, l’Hydrogène qui représente également 92% du nombre des atomes de l’Univers a un noyau d’un seul nucléon, un proton, et il a donc aussi un seul électron ce qui lui confère une neutralité électrique. Ces particules ne sont d’ailleurs pas les plus élémentaires car tant les protons que les neutrons sont constitués de 3 quarks chacun, dans des combinaisons différentes. Je dois surtout mes connaissances en matière de particules subatomique à une partie des deux années d’études que j’ai faite par l’intermédiaire du CNED (j’étais en activité professionnelle à cette époque et j’avais 57 et 58 ans) d’un cours dispensé par l’Université de Paris II Orsay, sanctionnés par un Diplôme Universitaire correspondant un DEA qui n’existe plus aujourd’hui remplacé par un Master 2 Recherche. Parmi les branches traitées dans ce cours il y a un important chapitre portant sur la création de la matière qui s’est essentiellement faite par fusion d’atomes léger en atomes de plus en plus lourds dans des conditions de températures et pression qui ne se concrétisent que dans le cœur des étoiles, et notamment lors de leurs explosions en supernovæ. Plus loin dans le venin d’Attia, Je n’ai par ailleurs pas eu à convaincre des gens « sérieux » (ceux dont il ne peut pas contester le jugement sans se rendre ridicule) de donner mon nom à un astéroïde pour plusieurs raisons, dont la première c’est que je ne connais même pas les gens qui en ont décidé ainsi. Il s’agit d’un groupe constituant le « Minor Planet Center » qui est affilié à l’Union astronomique internationale. Ce MPC est seul habilité à nommer les objets célestes que ce soit des planètes, des étoiles, des cirques ou montagne sur les planètes ou leurs satellites comme la Lune par exemple, les comètes …..et les astéroïdes comme celui auquel ils ont donné mon nom. Le processus de nomination est assez complexe et prends des années. L’astéroïde a été découvert en 1998 et ce n’est qu’en 2024 que j’ai reçu, à ma grande surprise, une information par mail d’un service de la NASA m’informant que l’Institut National des Sciences de l’Univers proposait de nommer Sergerochain l’astéroïde N° 49118 1998 SL10 découvert à l’observatoire de Caussols por l’ODAS et me demandant si j’y voyais une objection. Imaginez ma surprise, je croyais à un Canular, je ne connais personne de tous ces organismes cités le message. Je ne connaissais que l’INSU mais de nom seulement et j’ignorais même qu’il existait un observatoire à Causssols et ce que faisait cet ODAS (j’ai, appeler l’observatoire de Caussols pour apprendre que l’ODAS n’existait plus depuis plusieurs années, leur activité de détection d’objets géocroiseurs (objets célestes croisant l’orbite de la Terre est susceptible de nous percuter) a été remplacée par une flottille de satellites spécialisés qui font ces détections automatiquement. Les circonstances de la découverte reprise dans le site et figurant dans le mail ne pouvant pas avoir été inventé par un plaisantin de la Nasa (c’est la NASA qui gère le fichier du MPC), l’URL étant bien un site de la NASA. En fait, dans les deux jours qui ont suivis j’ai reçu des appels téléphoniques de collègues du Pic du Midi et j’ai compris que ce n’était pas un gag, et on ne refuse pas un tel honneur. Depuis j’ai pu obtenir des éclaircissements. L’INSU regarde qui a fait quoi de très spécifique et « remarquable » pour décider des noms à proposer au MNP pour les objets découverts par les observatoires français. Il se trouve que, depuis 25 ans, je fais partie d’une équipe d’astronomes en tant qu’amateur bénévole comprenant les professionnels spécialiste de l’étude du Soleil au Pic du Midi. Il y a 15 ans nous avons décidé de créer un instrument présentant des caractéristiques uniques à la conception duquel j’ai participé en tant qu’informaticien pour la programmation du système de pilotage, et avant pour la réalisation des calculs optiques très particuliers que nécessite un coronographe observant dans des longueurs d’ondes différentes avec reconstitution des images par superposition. Bref une cuisine mélangeant les mathématiques et la programmation de l’ordinateur. Les 6 autres personnes qui ont comme moi participés à la conception de cet instrument appelé CLIMSO ont étés gratifiés du même honneur et c’est ce qui nous a permis de comprendre à quoi nous le devons…. Nous avons tous reçus une belle lettre de L’INSU, presque trois mois plus tard nous félicitant pour notre travail qui fait aujourd’hui autorité dans la recherche solaire blabla et reblabla et nous apprenant que nous allions bientôt recevoir une demande de la NASA pour donner notre accord blabla et rereblabla. Nous avons bien ri de la réactivité de l’INSU, rattaché au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche. Voilà toute l’histoire. Dans le genre humour avec Attia, il pense aussi que les membres de l’académie des sciences qui me font l’honneur de préfacer mes ouvrages, le font sans même les lire, sinon ils refuseraient de cautionner les âneries que j’écris. Il croit aussi que des associations ont le droit de décerner un diplôme d’ingénieur, par exemple, comme les médecins qui pourrait faire une association pour distribuer des doctorats de médecine….pourquoi pas ? Attia sans limites si ça peut faire du tort à cet ignorant de Rochain Amusés vous bien, Serge Rochain, Lauréat de la Société des Ingénieurs diplômés par l’Etat https://ssd.jpl.nasa.gov/tools/sbdb_lookup.html#/?sstr=1998%20SL10&view=VOP https://www.editions-complicites.fr/pages-auteurs/serge-rochain/ https://www.istegroup.com/fr/auteur/serge-rochain/ https://www.sidpe.fr/les-idpe/ http://climso.fr
jean-jacques Attia
Rochain ne peut pas s'empêcher de noyer le poisson. 1--- Personne ne l'a obligé à écrire :""...un atome est constitué d'un noyau appelé nucléon...". Qu'il vienne ensuite prétendre que j'aurais écrit que les nucléons s'ajoutent aux protons et neutrons ne relève que de sa mauvaise foi, ou de sa difficulté manifeste à comprendre ce qu'il lit. 2--- Le modèle de Rutherford a été critiqué parce qu'il n'expliquait pas pourquoi les électrons ne finissent pas "scotchés" sur le noyau autour duquel ils orbitaient. Bohr a repris ce modèle en introduisant la notion de niveaux d'énergie pour les électrons, c'est cela qui peut aider à comprendre l'effet photoélectrique. 3--- Et tant qu'il y est, Rochain se fend d'un rappel sur ses "longues" études... Le ridicule ne tue pas, on le savait. 4--- Venons-en à l'essentiel : c'est complètement à son insu que l'INSU a oeuvré pour qu'il lui soit attribué la paternité d'un astéroïde, parmi les milliers de milliards d'astéroïdes de notre système solaire. Voilà un sacré cadeau pour récompenser des années de bénévolat à faire fonctionner une machine au Pic du Midi. Mais c'est un travail d'équipe, personne n'a été oublié et chacun a eu son caillou, même Rochain. Bravo. C'est sûr qu'après cela, nous allons tous regarder le ciel autrement...
EtDF
J'en reviens à la corrosion sous contrainte... comment se fait il que mécaniquement les pales d'éoliennes en composite et fibres soient considérées à renouveller au bout de 20 ans.. sans espoir de recyclage (économique) ou mise en décharge (voir les Allemands qui les enfouissent en Tchéquie).. alors que l'acier des tuyauteries secondaires présentant des fissures (au bout de 40 ans) sera complétement recyclé... Comment se fait il que l'on change les 400 - 100 tonnes d'aimants NdFeB au bout de 20 ans (matériau particulièrement sensible à la corrosion).. C'est bien le terme "renouvelable" qui s'impose à ces matériaux..Je ne parle pas ici des petites intallations domestiques de PV que chacun peut s'équiper pour se faire plaisir (amortissement ~25 ans... avec contrat).. Mais les grandes intallations qui dans les "déserts" nous aménent de l'electricité "verte" (essentiellement rendue alternative).. . pour lesquelles on a inventé un nouveau metier de nettoyeur de panneaux pour maintenir leur performance...
Serge Rochain
Tant que l'on considere ses propres convictions comme des faits avérés sans même s'être donné la peine de chercher ce quelles pouvaient avoir de vrai on ne peut conclure que des sottises. https://www.engie-green.fr/actualite/chantier-demontage-recyclage-eolien-port-la-nouvelle-aude/ https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/21088_VraiFaux_E%CC%81olien_terrestre%20%281%29.pdf

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